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Terres d'Evangile / Enseignement /Le discours sur le pain de vie
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| La synagogue de Capharnaüm Si on accepte la vie avec sa part d’inconnu et d’exigences, elle a le goût du pain et elle fait vivre; si on la refuse, la famine spirituelle cause la mort | |||||||||||||||||||||
Lieu : | |||||||||||||||||||||
 La synagogue de Capharnaüm Au temps du Christ, la ville de Capharnaüm jouissait d’une situation privilégié puisqu’elle servait de frontière entre la Galilée et les territoire du nord du lac. Par ailleurs une borne milliaire prouve qu’elle était sur la grande voie romaine menant vers la Syrie. Il y avait donc un octroi et la nécessité d’un collecteur de taxes, c’était Matthieu qui devint apôtre. On s’explique l’importance de la synagogue, reconstruite grâce aux libéralités d’un centurion romain dont Jésus guérit le serviteur (Luc 7, 5). Les ruines de la synagogue appartiennent au bourg que Jésus a connu et qui est abandonné depuis le Moyen Age. Dame Ethérie raconte comment elle a pu visiter, au VIe siècle, la synagogue édifiée à l’emplacement de celle du premier siècle déjà en ruine. Les fouilles entreprises en 1968 ont dégagé la maison de saint Pierre et la basilique qui y fut construite. La Custodie de Terre Sainte a édifié, par dessus les ruines de celle-ci, une église destinée aux pèlerins. | |||||||||||||||||||||
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