|  | | | Saint Philippe Néri A la Renaissance, le quartier des banquiers florentins de Rome devient aussi le centre d’une vie intellectuelle intense qui inaugure les problématiques des sciences modernes, histoire, archéologie, etc. | | Lieu : | |  St-Jean-des-Florentins Le quartier des Florentins Le charme de cette vieille rue masque les souvenirs des intellectuels qui laissèrent sur ses pavés la trace de leurs pas. On doit à leur généreuse liberté une partie de la réponse de l’Eglise aux questions spirituelles et rationnelles du XVIe siècle.
A cette époque, le souci de tenir sa place parmi les puissants de ce monde avait conduit le Pape Clément VII, de la famille des Médicis, sur les chemins de ces personnages. En quelques années, ce quartier si proche du Vatican vit s’ouvrir dans ses murs cent trente banques florentines!
Ces compromissions attirèrent le sac de Rome par les armées de l’empereur Charles Quint en 1527. En 1535, le pèlerin Philippe Néri arrivait de Florence fut accueilli dans ce quartier par un compatriote haut fonctionnaire des Douanes. Il n’avait que vingt ans! Pourtant sa foi était si claire qu’elle allait faire jaillir dans ces rues la source pure tant désirée par le pape Hadrien VI. Pendant la nuit, le jeune Toscan faisait tout seul le pèlerinage aux plus anciens lieux de culte chrétiens à Rome ou bien passait des heures de prière intense dans la catacombe de Saint Sébastien qui avait abrité les reliques des saints apôtres de Rome au plus fort des persécutions. | |
 | Façade de St-Jean-des-Florentins au bout de la via Giulia
[ Rome, Italie ]
|  | Arc de la via Giulia
[ Rome, Italie ]
|  | La plaque de la “Via dei Banchi”
[ Rome, Italie ]
|  | Fontaine de Jules III
via Giulia [ Rome, Italie ]
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