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Terres d'Evangile / Vie publique /La Samaritaine
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| Le don de l’eau vive La Samaritaine ne doit pas avoir bonne réputation dans son bourg puisqu’elle a eu cinq maris, pourtant Jésus prend du temps pour lui faire entrevoir un autre monde et elle le reconnaît pour le Messie, parce qu’il a éclairé sa conscience. Il ne lui a pas fait de reproche humiliant, il lui a parlé de la prière. Cela suffit pour qu’elle fasse de l’aveu de ses fautes un témoignage en faveur du Messie. | |||||||||||||||
Lieu : | |||||||||||||||
 Puits de Jacob Le puits dit de Jacob offre de l’eau dans une région rocheuse et sèche. Il est seul à permettre la vie autour de lui. Il fait partie de la route des puits nécessairement suivie par les Patriarches. Ce lieu est honoré depuis des millénaires à cause du souvenir de ceux-ci. Au dessus du puits se dressent deux montagnes: le mont Ebal et le mont Garizim. Elles encadrent le passage stratégique qui conduit de la plaine côtière aux routes qui traversent la Terre promise. Les grandes liturgies de l’Alliance entre Dieu et son peuple ont été célébrées sur ces deux montagnes à la fois avant que David fixe le culte à Jérusalem mille ans avant Jésus-Christ. Deux chœurs se répondaient sur les pentes. La sécheresse du mont Ebal évoquait la sécheresse des cœurs et l’appel à la conversion, alors que la fertilité du mont Garizim signifiait la ferveur des fidèles répondant à l’accomplissement de ses promesses par Dieu. | |||||||||||||||
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Liens associés :  Le symbole de l’eauhaut de la page | |||||||||||||||
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