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Terres d'Evangile / Vie publique /Zachée, le Publicain
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| L’étonnante rencontre L’œuvre du Christ n’est pas orientée vers la récompense des justes, mais elle est signe de la miséricorde divine pour les pécheurs. Cette bonté appelle une confiance sans limite. | |||||||||||||
Accomplissement des Ecritures : | |||||||||||||
 La réponse de Dieu à la confiance Dès l’origine, la Bible montre la volonté de Dieu de réparer les fautes de l’homme et la sollicitude dont il entoure le pécheur. A Adam et Eve il promet une victoire sur le mal, à Caïn il assure qu’il le protégera bien qu’il ait tué son frère: “Dieu mit un signe sur Caïn afin que le premier venu ne le frappât point.” (Genèse 4, 15) Les prophètes ne cessent d’appeler le peuple à un repentir confiant à cause de la grande miséricorde de Dieu. Cette joyeuse assurance qui dépasse l’effroi du péché, culmine dans l’Evangile. Plus audacieux que Zachée, le bon larron reconnaît l’étendue de ses crimes, meurtre et sédition, et en même temps demande au Seigneur sur la croix de partager son Royaume. Jésus n’entre pas en matière sur le passé de ce criminel, touché par sa confiance, il lui promet le Paradis pour le soir même (Luc 23, 39-43). | |||||||||||||
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