Terres d'Evangile / Enfance du Christ /La naissance du Christ

 
 
 La Nativité
A Noël le paradoxe proprement chrétien du Dieu créateur qui s’exprime dans l’extrême faiblesse, contredit toutes les espérances spontanées des hommes et les représentations qu’ils se font de la puissance de la divinité: Dieu éternel est entré dans le temps des hommes.
 
Symboles :
 
La faiblesse de l’enfance
L’antiquité gréco-romaine rejoignait le mépris général pour l’enfance, «infans», qui n’a pas la parole, de sorte que l’enfance comme telle n’a pas trouvé place dans la culture symbolique. Sans doute trouve-t-on des maternités dans les sculptures amérindienne ou africaines, mais c’est la mère qui donne la vie qui est honorée. Il est d’autant plus extraordinaire que Dieu ait choisi de se faire petit enfant pour être reconnu par les pauvres et les savants, les bergers et les mages.
 
Statue Bambara de la maternité


 


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  Documents associés : 
Lieu : 
Bethléem
Texte de l'Evangile : 
Jean 1, 1-18
Clés de Lecture : 
La nativité
Expérience humaine : 
Le paradoxe de l’enfance
Accomplissement des Ecritures : 
La promesse du Messie
Citations : 
Chroniques 22,9-10
Isaïe 7,14
Basile de Bésarée, Ve siècle
Augustin (354-430), De trinitate 15, 13
Hilaire de Poitiers, IVe siècle
Basile de Séleucie
Symbole dit d’Athanase
Ignace d’Antioche, Ier siècle
Basile de Séleucie
Augustin (354-430), sermon 185