|  | | | Les souvenirs de saint Augustin Impressionné par les troubles intellectuels et matériel de la chute de l’empire romain, Augustin a élaboré la théologie de la grâce, trouvant dans le secours de Dieu l’entrée dans une cité impérissable. | | Sens actuel : | |  Le Jérusalem céleste Face aux crises de la vie personnelle ou à celles du monde actuel, les raisons d’espérer sont toujours les mêmes, fondées sur l’accueil de Dieu dans sa familiarité, la ville qui nous attend est toujours illuminée par l’Agneau qui a versé son sang pour nous. Saint Augustin composa « La Cité de Dieu » pour décrire cette réalité eschatologique : la Jérusalem céleste annoncée par l’Apocalypse se prépare dès cette terre par la charité fraternelle des disciples du Christ. Pour rendre plus aisé à son diocèse la pratique de l’union à l’Agneau de Dieu qui nous fait vivre de son sacrifice, Augustin groupa autour de lui les prêtres qui partageaient son ministère sacramentel. La règle qui organisait leur vie réunit encore aujourd’hui des religieux voués à l’apostolat. Le baptistère aménagé récemment dans l’église des chanoines réguliers de saint Augustin, à St-Maurice, est justement décoré par l’image de la Jérusalem céleste. | |
 | La Jérusalem céleste, mosaïque du baptistère de l’abbatiale de St-Maurice
Abbatiale de St-Maurice [ St-Maurice, Suisse ]
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